Il y avait du monde vendredi passé à la CossArena pour la fondue de soutien du Volley-ball Club de Cossonay. Beaucoup de monde! Habitué à accueillir quelques 200 personnes, le club a vu débarquer plus de 300 personnes!
Cette affluence, au-delà d’être bénéfique aux comptes du club, a aussi provoqué quelques petits couacs dans une organisation normalement bien rodée. Aussi, la file d’attente fut peut-être un peu plus longue et il y eut quelques petits soucis avec la fondue. Ceci dit, ces petites imperfections ne semblent pas avoir gâté la bonne humeur générale qui régnait. Il y avait une vraie ambiance de fête, une joie d’enfin pouvoir se retrouver. Poignées de mains, embrassades, et larges sourires, la chaleur humaine qui se dégageait était en flagrant contraste avec les températures polaires à l’extérieur. À croire que même la météo avait décidé de se mettre au diapason pour assurer la réussite de la soirée! En effet, quoi de mieux que de voir tomber les flocons par la fenêtre lorsqu’on déguste une bonne fondue?
La présidente Céline Teuscher débuta son discours en remerciant la commune de Cossonay pour la mise à disposition de locaux, la maison Bolle qui offrait l’apéro, puis les généreux sponsors de la très belle tombola, mais surtout les membres du club pour l’énorme travail bénévole, et bien entendu le comité, sans lequel rien n’aurait eu lieu. Concernant le club, on notera le retour d’une équipe masculine, la promotion de l’équipe F4 en 3e ligue, et les bonnes performances générales. Le club n’a bien sûr pas été épargné par les aléas des deux années écoulées. 2021 aurait dû lui permettre de fêter ses 40 années d’existence, mais les événements en ont décidé autrement. Si, pour l’instant, rien n’est prévu, le club ne manquera pas de communiquer au travers de ses pages Facebook, Instagram, et le site www.vbccossonay.com. L’animation était confiée à Didier Guisolan, dit Guigui, qui avait concocté pour l’occasion un de ses fameux Quizz Fasila, durant lequel les tablées s’affrontent à coup de buzzer. Et pour terminer la soirée, un karaoké a emmené les plus vaillants jusqu’au bout de la nuit.
Texte et photos Stéphane Raynaud
